[Tuto] Vous aussi, retrouvez la joie de regarder des dessins animés (du pr0n, du pr0n et encore et toujours du pr0n) !

Comme vous le savez tous très certainement, je suis restée une grande gamine dedans ma tête. Et qu’est ce qu’adorent faire les gamins (à part plein de conneries) ? Regarder des dessins animés bien-sûr ! 

Mais bon, comme vous êtes tous de gros aigris incapables de profiter des petits plaisirs de la vie, j’ai décidé de vous aider à aimer les dessins animés. Et quoi de mieux, pour vous pauvres petits esprits lubriques, que le pr0n ?

Alors oui, je suis au courant (et plus qu’au courant), que les dessins animés de pr0n, ça existe, et ça s’appelle le Hentai. Mais bon, au final, on voit toujours les mêmes pauvres petites filles sans défense qui finissent toujours par avoir des rapports forcés avec des tentacules, ça en devient franchement blasant au bout de quelques épisodes, même si ça vous permet d’assouvir secrètement vos désirs les moins avouables.

Non, moi je veux vous parler de VRAIS dessins animés. La dernière fois, @SuperCarotte_ vous avait parlé de Dora l’exploratrice et de ses relations étranges avec la mafia colombienne, cette fois, je vais vous apprendre à voir du pr0n dans les dessins animés les plus innoncents !

Tout d’abord, et c’est super important, il faut cultiver votre esprit pervers, mais pas question de faire de tutos dessus, vous vous entraînez depuis déjà assez longtemps !

Passons donc directement au second point : concentrez-vous à mort sur les dialogues, et vous verrez, parfois, il y a des perles cachées. Bon, je vous sens quand même relativement septiques (bande de gros abrutis, vous ne savez pas encore que j’ai toujours raison, surtout quand on parle de pr0n), alors je vais vous donner quelques exemples.

Dans Ulysse (pas 31 hein, le pseudo-dessin animé mythologique un peu pourri qui passe sur Gulli le matin), il y a quelques répliques très bien trouvées :
- “Oh Ulysse, attention à sa grosse épée !” – Ben oui Ulysse, fais gaffe, enfin en même temps on s’en doutait un peu que tu aimais les grosses épées, les grecs sont connus pour s’entre-explorer le colon, à visée thérapeutique bien-sûr (comment ça le cancer du colon, ça arrive rarement aux jeunes hommes musclés dans la vigueur de l’âge ? On est jamais trop prévoyants, épuissétou ) !
- “Fais attention Ulysse, c’est un ennemi vigoureux, c’est un combat que tu pourrais perdre, laisse moi t’apporter mon aide !” – Oh oui, fais attention Ulysse, c’est pas toi qui va faire l’homme cette fois ! Laisse moi plutôt lui prêter mon rectum, il y a un petit moment que j’ai pas subit de dépistage, et tous ces muscles, ça me rend fou fou fou !

Bon, j’arrête là avec les exemples, le but ce n’est pas de vous macher le boulot non plus ! Et pour les gros septiques, sachez que ces répliques sont une citation exacte de ce qu’ont dit les personnages, je les ai notées dès que je les ai entendues.

Allez, troisième point : porter de l’attention aux dialogues, saybien, mais ne délaissez pas l’image ! Vous verrez, parfois, certains personnages se retrouvent dans des situations et positions des plus cocasses, très suggestives pour un esprit pervers bien entrainé ! Du coup, avec un peu d’entrainement, vous verrez de tout : du bukkake (un gros méchant monstre qui fini par exploser à la tête de l’héroïne), des lesbiennes en masse (oh la la, comment j’ai trop eu peur, je suis contente qu’on s’en soit sorties, serre moi dans tes bras ! Oh mais dis donc, je ne les pensais pas si gros tes boobs, c’est perturbant…), de la zoophilie (pikatchu et sasha ils ont quand même un comportement étrange parfois)…

Et enfin, le dernier point, très important lui aussi : croyez en vous ! Pour la plupart d’entre vous, vous cultivez la perversité de votre esprit depuis votre plus tendre enfance, et pous les autres, le fait que vous veniez encore lire mes articles montre que vous êtes sur la bonne voie. Alors, croyez en vous, et surtout, exercez-vous ! Vous verrez, les dessins animés, c’est toujours aussi bien, même mieux que quand on était petits !
Je tiens également à dédicacer cet article à @anhaflint, grande connaisseuse du moindre recoin du corps humain et collègue d’appréciation de doigt dans le colon ascendant. Sur ce, seeya bande de mollusques approximatifs !









[Tuto] Comment perdre ta crédibilité en six leçons.

Si toi aussi, tu en as marre que les gens te prennent au sérieux, que tes collègues de travail ne se moquent pas de  toi, ou si tu veux simplement perdre le peu de crédibilité qu’il te restait, ce tutoriel est pour toi !

 

Lesson 1 – La pratique du franglais.

Comment ça tu ne sais pas ce qu’est le franglais ? Pourtant, c’est un des outils indispensables qu’il te faudra maitriser parfaitement lors de ta conquète vers la perte totale de ta crédibilité ! Le franglais, et là nous sommes tous les deux d’accord, je te prends ouvertement pour un con, c’est tout simplement l’art de mêler anglais et français dans absolument TOUTES tes phrases !

Un peu d’histoire maintenant, le franglais a été inventé au vingt et unième siècle par le grand Jean Claude Van Damme. Rapidement médiatisé, le terme « être aware » restera à jamais gravé dans nos mémoires. Il a de nombreuses fois été réutilisé, mais aucun disciple n’a jamais réussi à dépasser le maître.

Ton but n’est donc pas de prétendre à dépasser JCVD, petit prétentieux, ni même chercher à l’égaler, mais simplement de s’inspirer de son œuvre. Voilà, tu as toutes les informations nécessaires pour réussir en ce qui concerne le franglais, maintenant, la balle est dans ton camp !

 

Lesson 2 – Le déni de la grammaire, de l’orthographe et de la synthaxe.

Là aussi indispensable dans ta quète, c’est là aussi un outil que tu dois parfaitement maitriser. Je ne m’étendrai pas sur ce point, il te suffit d’envoyer en l’air tout ce qu’on tu as appris à partir du CP. Plus tu fais des fautes, mieux c’est. L’avantage de cette méthode c’est qu’elle ne demande que peu d’efforts, puisque tu le constateras par  toi-même, au bout de quelques jours seulement, tu ne sauras plus du tout comment écrire en bon français. Ta nouvelle ponctuation : lol, mdr, ptdr, xptdr… Si tu as peur d’échouer, ne t’en fais pas, un geek a créé l’outil ultime : il kikoololise ton site pour toi !

 

Lesson 3 – Le choix de la police.

A vrai dire, c’est plus le non-choix de la police d’écriture qui importe. Désormais, tu ne jures plus que par le Comic Sans MS. Aucune objection possible, c’est LA police qu’il te faut. Point final. Elle n’a pas été inventée par un certain Mr Connare pour rien !

 

Lesson 4 – La mise en forme du texte.

La mise en forme du texte que tu vas choisir est très importante. Il y a plusieurs règles à l’intérieur de celle-ci :

  • Le capslock est ton ami.  Le capslock, c’est tout simplement le fait d’écrire en majuscules des phrases, voir même des paragraphes entiers. Le capslock, c’est la vie.
  • L’abus des marques de ponctuations : tu dois en user et en abuser. Plus il y en a mieux c’est. N’hésites pas à en mettre plusieurs côte à côte, et surtout, pense à glisser quelques « 1 » au milieu de tes « ! ».
  • Les smileys sont tes meilleurs amis. N’hésites pas à en user, en abuser et surtout à en inventer. Moins il est compréhensible, mieux c’est.

 

Lesson 5 -  L’absence d’intérêt du contenu.

Ce point là n’est pas indispensable, car ce tutoriel a été réalisé de façon à ce que tu puisses perdre ta crédibilité au bureau comme sur ton blog ou sur facebook. Cependant, si tu en as l’occasion, n’hésite pas à publier en masse du contenu absolument dénué d’intérêt.

 

Lesson 6 – Les expression skyblog.

Bien placées, elles seront le petit détail en plus. Un petit « lachez vos coommmmmz » sera toujours le bienvenu. Skyblog regorge d’expressions dans le genre, je te conseille donc de les consulter de longues heures et d’en tirer le meilleur parti. N’oublie pas, le parler djeuns est ton nouvel ami, il doit te suivre partout.

 

Voilà, c’est la fin de ce tutoriel. J’espère qu’il t’aura bien aidé dans ta quête. N’hésites pas à user et abuser de tous les conseils précédemment cités, c’est la façon la plus efficace et durable de perdre toute crédibilité !

 









[Tuto] Comment tourner un documentaire tout pourri sur les fantômes

En allant faire un tour sur un certain blog dont je ne tairai absolument pas le nom puisque c’est celui d’overmaster_ysu, je suis tombée sur un article qui présentait une mini-série de « reportages » sur les fantômes. Oui oui, j’ai mis « reportage » entre guillemets, parce que soyons francs, c’est surtout une belle daube qui nous prend tous pour de gros badabeus ! Pour ceux qui n’auraient pas encore cliqué sur le lien vers l’article, je vous le conseille fortement, ainsi que de regarder les vidéos, parce que j’ai bien l’intention de vous spoiler tout ça (vous ne pourrez pas dire que je ne vous ai pas prévenus). Voici donc le tuto que vous attendez tous : comment tourner un « documentaire » tout pourri sur les fantômes.

 

 

 

Règle n°1 : Avoir du matériel tout pourri


Et oui, pour tourner un documentaire, il faut du matériel. Mais rassurez-vous, pour un documentaire tout pourri comme celui que nous nous apprêtons à tourner, pas besoin de se ruiner dans un magasin Hi-tech, en fait, c’est même le contraire. Je vous conseille fortement de vous pointer chez Emmaüs et d’y acheter la webcam la moins chère que vous y trouverez (en plus, vous ferez votre BA de l’année). Si vous décidez de filmer à l’extérieur de votre domicile, ruez-vous sur le téléphone portable le plus pourri que vous pourrez trouver possédant une fonction caméra. Pour le son, ne vous embêtez pas non plus, votre webcam ou votre vieux téléphone suffiront. Si la webcam n’a pas de micro, ce n’est pas un souci, vous pourrez toujours m’appelez pour le doublage, il parait que je fais super bien le chat (pour ceux qui se demandent ce qu’un chat viens foutre là, soyez honteux et allez vous culturer un peu en regardant la cité de la peur, mais euh, finissez l’article avant quand même hein ^^).

 

 

 

Règle n°2 : avoir des acteurs tous pourris


Et oui, car pour tourner un documentaire tout pourri, il faut des acteurs en mousse. Comment ça un documentaire ce n’est pas tourné avec des acteurs ? Pour les vrais docus, oui, je vous l’accorde, mais pour le notre, il nous faut bel et bien en engager. Mais attention, pour les trouver, il y là aussi quelques règles à suivre. Tout d’abord, et j’insiste sur ce point, malgré tout ce qu’ils pourront tenter de faire pour vous persuader, ne les payez pas. Moins ils seront motivés, mieux ce sera. Le but étant qu’ils ne manifestent absolument aucun signe d’intérêt pour le tournage et encore moins pour leur rôle. Ne leur faites pas non plus le coup de la célébrité, de la richesse, des biatchs et de la coke à volonté, pas parce que ce serait leur mentir, ça on s’en tape complètement, mais parce que là encore, ils pourraient avoir l’idée saugrenue de donner le meilleur d’eux même. Notez que « saugrenue » je l’ai placé toute seule comme une grande, même pas besoin de votre aide. Petite astuce, si vos acteurs tous pourris sont un peu trop doués, pas de panique, vous pouvez toujours les faire doubler en post-prod par des gamins ou par moi, puisque je vous rappelle que je fais super bien le chat et les « plic » « ploc » (et que j’ai cruellement besoin de thunes pour m’acheter des nouvelles chaussures que je ne porterai que deux mois puisqu’après elles ne seront plus à la mode).

 

 

 

Règle n°3 : Rassemblez le maximum de clichés


Cette règle me parait être une des plus importantes. Usez et abusez du cliché. Pour le lieu, peu importe ne vous tracassez pas, l’important c’est de dire que c’est la porte des enfers. Cette formule marche toujours et révélera sans aucun doute le caractère érectile de la pilosité de vos téléspectateurs souffrant d’hexakosioihexekontahexaphobie.


Sachez aussi que si vous décidez d’en faire mourir un, écrasé par un soliveau par exemple, il y un ordre à respecter : le noir meurt toujours le premier (pas de racisme, c’est toujours comme ça dans les films ou dans les jeux). Après, l’ordre importe peu, gardez-vous tout de même la bonasse (blonde avec des boobs qui défient la gravité de préférence) pour la fin. A défaut de faire se dresser leurs poils, vous pourriez bien faire dresser une autre partie de leur anatomie.

 

Pour gagner en fake-crédibilité, il vous faudra aussi un fake-savant. Oubliez le savant fou, ça n’a rien de sexy et c’est so 2010… Non, optez plutôt pour un asiatique, cliché oblige. L’important c’est de lui faire sortir des mots savants à chacune de ses interventions comme « hysterosalpingographie », « désinence », « inertie » ou « antépenultième » (oui oui, je le reconnais, c’était facile). Attention, ces mots savants ne doivent avoir absolument aucune relation avec le thème de votre documentaire, dans notre cas, les fantômes. Vous pouvez le faire crever assez rapidement, puisqu’il n’était là que pour trois raisons : donner de la fake-crédibilité à votre documentaire (donc le rendre un peu plus ridicule auprès des gens un minimum culturés qui regarderont votre œuvre dans le seul et unique but de se moquer), me permettre de placer des mots pour lesquels je n’avais aucune inspiration, et attirer un public geek.

 

 

 

Règle n°4 : installer un climat plein de mystère


Pour installer un climat plein de mystère, ne vous en faites pas, ce n’est pas très difficile. Il suffit de tourner de nuit. Ah ben oui c’est simple hein, mais il fallait y penser. En plus, avec votre matériel tout pourri, les parasites qui apparaitront à l’image pourront très bien faire office de manifestations surnaturelles. Profitez également du fait que vous avez un son tout pourri pour faire dire à vos acteurs qu’ils ont entendu des bruits bizarres comme une gamine qui rit (genre, Alma, elle vous a pas fouttu la trouille à vous dans FEAR ?), une femme qui pleure, etc… Si vos téléspectateurs n’entendent rien, c’est parce qu’ils ne sont pas aware, ou mieux, que ce sont les fantômes qui pourrissent votre matos.

 

Installez un climat de paranoïa. Alors oui, je sais, avec des acteurs tous pourris, c’est difficile. Mais là encore, j’ai la solution. Si vous en avez la possibilité, prenez des acteurs drogués et privez les de leur précieuse molécule. Si vous craignez les retombées judiciaires, vous n’avez qu’à prendre un potomane et lui faire miroiter un verre d’eau pendant tout le tournage. Attention tout de même à ce que vos acteurs soient vraiment en bad trip, le but n’étant pas qu’ils voient des arc-en-ciel et des bisounours. Voilà pourquoi il vaut mieux les sevrer que de leur faire renifler un peu trop de poudre blanche. En plus, non seulement ça vous permettra d’installer ce climat angoissant, mais il y a un côté jubilatoire –encore un ou je n’ai pas eu besoin de vous – indéniable à faire preuve d’autant de cruauté.

 

Enfin, il vous faut une histoire. Et bien oui, je suis désolée, mais pour le coup, il va falloir vous creuser la tête. Parce que vous pouvez n’importe où, tout ce que vous voulez, même votre caca (spéciale dédicace à @ZeBouli et mon Pwet) au fond de la cuvette, mais il faut qu’il y ait une légende. Par exemple, votre caca pourrait très bien être la dernière chose que la pauvre demoiselle en détresse de votre légende ait fait avant que son mari ne décide de la dépecer après avoir pris soin de lui arracher un à un tous les ongles/poils/dents. Et puis un caca qui se conserve aussi longtemps, ça ne peut qu’être la manifestation d’une force surnaturelle, certainement la défunte qui ne veut pas qu’on l’oublie tant que justice ne lui aura pas été rendue.

 

Voilà, maintenant vous savez tous comment faire un documentaire tout pourri sur les fantômes, et moi j’ai tenu mon pari. Pour ceux qui ne seraient pas au courant, cet article fait suite à un jeu con où les lecteurs m’ont laissé des mots à caser dans les commentaires. Si vous décidez de le mettre en pratique, faites suivre, je m’engage à poster vos vidéos. Allez, seeya !

 

 

 

 









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Geekette et féminine. Comme tous les geeks, j'aime mes PC. Comme toutes les femmes, j'aime les sacs à main, les chaussures, faire le ménage, etc. Ce blog est là pour assouvir un besoin égoiste primaire qui consiste à raconter ma vie et à vous faire partager les trucs dont vous vous foutez certainement mais qui me plaisent (ou pas). J'espère au moins vous faire sourire un peu. Vous pouvez également me retrouver sur "Ouatseup", un webzine communautaire où j'officie également.


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