Hello world !
Comme vous le savez peut-être déjà si vous avez twitter, mon crapaud et moi nous sommes rendus ce week-end au Festival International de la BD 2012 à Angoulême, et c’était classe !
Je vous en parlerai plus longuement dans un prochain post (histoire de vous faire bien baver et de vous culturer un peu bande de noobinous), mais j’ai décidé, avant toute chose, de vous parler du drame, du combat à mort, de l’étalage de connerie monumental dont a été témoin Stan Silas ce week end.
Bon, histoire de faire les choses bien pour une fois, on va commencer par le début. Stan Silas, pour moi, c’est avant tout le mec qui gribouille (bon, qui gribouille bien hein, pas genre un gamin de 5 ans attardé mental, manchot et aveugle qui trouve un crayon et de la tapisserie) sur son blog : ici et puis ce mec a fini par être publié, aux Editions Makaka, pour ses deux premiers tomes (le troisième arrive bientôt) de La vie de Norman, un petit garçon qui aime bien découper les gens, y compris ses copains de classe.
Bon, déjà , rien que le visuel, perso, je dirais que c’est à s’en taper le cul par terre. Mais en plus, l’univers est juste énorme : c’est franchement drôle, assez corrosif parfois, on tape sur les faibles (surtout la maîtresse), l’histoire et les personnages sont bien construits. Bref, que du bonheur.
Du coup, entre ce que j’avais vu sur le blog (un premier jet du tome 1), et ce que m’avait dit @Randallflagg_ (qui m’a fait découvrir le boulot de Stan Silas) qui l’avait déjà acheté, quand j’ai vu le monsieur au stand Makaka, j’ai tout  naturellement décidé de continuer à exploser ma carte bleue et sauté sur l’occasion d’avoir une dédicace. Comme je suis une meuf trop gentille (entre autres), j’me suis dis qu’un clin d’oeil à la personne qui m’avait fait connaître, c’était quand même la moindre des choses, ça a donné ça :
Mais voilà , ce gros aigri de la vie (normal, il est gaucher) a mal pris la chose et a décidé de se venger. Il n’a pas hésité une seule seconde à mobiliser son réseau mafieux pour donner vie à son plan machiavélique, et ça a donné ça  (on aura une meilleure photo quand le parrain aura reçu son colis hein) :
Et voilà , le premier chapitre de mon périple à Angoulême est terminé. Un énorme merci à Stan Silas, qui a du bien nous prendre pour une belle bande de cons pendant ses dédicaces (il  n’aurait pas tout à fait tort, soit dit en passant) mais qui a quand même joué le jeu (ben les cons, c’est bien connu, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait, il a dû avoir peur pour sa vie). Allez, seeya les mollusques, et demain, vous aurez un autre article. Ou pas. Peut-être après demain en fait. On verra. Ah oui et euh, si vous aimez les mecs qui gribouillent, le gaucher mafieux, il a un blog aussi, ici.
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