BOTD – Joueur du grenier, ma folle jeunesse.

Helloooooooo bitches/world/les mollusques (rayer la mention inutile) !

Je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour (et comme la team rocket, m’envoler vers d’autres cieux). Aujourd’hui je vais vous parler de la BD du Joueur du Grenier, avec du @JoueurDuGrenier dedans.

 

 

1. Le Joueur du Grenier, mékissé ?

Certains d’entre vous se demanderont peut-être qui est ce mystérieux Joueur du Grenier (qui mérite une majuscule à Grenier tellement que c’est bien), et bien, je leur répondrai qu’ils le sauraient si ils n’étaient pas juste une bande de putain d’incultes décérébrés dont la date limite de consommation était dépassé depuis un siècle ou deux (bon sinon, c’est un mec qui fait des vidéos en testant pour nous des vieux jeux, sur des vieilles consoles, entre autre, il fait d’autres trucs aussi, z’avez qu’à aller voir, c’est ici : Le site du Joueur du Grenier).

 

2. Et il dessine en plus de faire des vidéos trop pète sa maman ce mec ?

Ben non. Comme il doit autant savoir dessiner que moi et mes deux pieds gauches, c’est Pirate Sourcil qui s’occupe du dessin, et du storyboard (information absolument non vérifiée en ce qui concerne le storyboard hein, faut pas déconner, c’est juste que ça « sent » le Pirate Sourcil à plein nez). Pour ceux qui voudraient découvrir son boulot, il a un blog BD, ici et il a fait parlé de lui dernièrement avec une planche de BD censurée parce que certains y voyaient de la pédophilie (moi j’y voyais un gag pas drôle, un peu inutile, mais pas bien méchant).

 

3. C’est moi ou elle vénère le Joueur du Grenier et elle chie sur Pirate Sourcil là ?

C’est vrai.

Certains y voient l’association de deux génies, j’y vois personnellement une grosse daube en boite et une belle connerie de la part du JDG. Ouais, ouais, carrément, une grosse daube en boite. Bon, je ne suis peut-être pas très objective sachant que de base, je ne suis pas une grande fan du boulot de Pirate Sourcil, et malheureusement, il y a quand même plus de Pirate Sourcil que de JDG dans cette BD.

 

4. Mais sérieux, t’en as pas marre de chier sur ce mec ? (c’est là que la vraie critique à deux balles commence).

Qu’on soit bien d’accord, je n’ai rien contre ce mec, j’ai même rien contre son travail, je le trouve simplement pas drôle et pas passionnant pour un sou, mais ce n’est que mon avis.

En ce qui concerne la BD (ben ouais, c’est de ça que je suis sensée parler à la base), pas de soucis du côté du dessin, je le trouve même plutôt sympa, non en fait, le gros problème dans cette BD, c’est l’histoire.

La BD en elle même se vend au prix de 10,45€, pour une quarantaine de page. Pas très épaisse, mais franchement ce n’est pas plus mal. Ici, pas d’histoire  à proprement parler mais une succession de gags pas marrants, d’un gag récurrent pas marrant non plus, de quelques rares références à des jeux vidéos pas très fines, et de références à des séries télé avec les noms écrits en franglais pas marrant pour pas fâcher les franchises. Bon, ça, vous me direz, ce n’est pas leur faute, mais franchement, un minimum de travail sur les jeux de mots possibles aurait été appréciable (parce que bon, Dragon Boule Z, ça laisse sérieusement à désirer).

La BD est sensée nous compter l’histoire de l’enfance du joueur du grenier, mais franchement, je n’y vois aucun réel intérêt dans le sens où il ne s’agit  que de gags pas marrants (ouais je sais, je me répète, mais il est important de noter deux choses : ils ne sont vraiment pas marrants, et je vous emmerde), et prévisibles même pour une dizaine de siamois qui partagent un demi cerveau et un troisième chromosome 21. Histoire de bien nous rappeler qu’on est dans une BD, on glisse à l’intérieur d’un gag déjà bien pourri, un autre gag bien pourri du genre « - Aaaaah pourquoi les cases sont ondulées ? – T’inquiète, c’est pour faire genre on fait un flash back ! ».

D’ailleurs, ce gag tout pourri résume assez bien l’ensemble des gags de la BD : du déjà-vu, et plutôt mal amené en plus. Comme il faudrait quand même pas qu’on oublie de raquer pour le deuxième tome, on nous colle un gag en deux partie, sur deux pages qui ne servent ABSOLUMENT A RIEN (ouais, en capslock, on se rend plus compte de l’inutilité de ces deux pages), avec un truc qui est sensé être du suspense à la fin mais en fait non. Comme on nous prend en plus pour des gros cons, on a quand même le droit à une page en plus qui nous dit :

[Début du dialogue]

- Hey mais le gag n’est pas fini !

- Ah ouais mais c’est normal, c’est pour faire raquer ces cons de lecteurs, parce que crois moi, si ils sont assez cons pour avoir acheté le tome 1, doivent bien être assez cons pour acheter le tome 2 juste pour avoir la fin d’un gag qui sera toujours aussi pas marrant et dont on se fout de la fin !

- Ah ouaiiiiiiiiiis, pas maaaaaaaaaaal, du coup, vu qu’ils sont si cons, tu penses pas qu’on devrait mettre une page de pub pour nos BD sur l’OM à la fin aussi non ? J’suis sûr qu’on pourrait trouver tout un tas de con pour l’acheter !

- Ah mais ouais, carrément ! Par contre, on risque de se faire gauler, on devrait mettre les dessins de nos fans, bon, ils dessinent comme des bites mais c’est pas grave, on est plus à ça près…

[Fin du dialogue]

Et ils l’ont fait ! On a donc le droit à des dessins qu’on croirait que ce sont des gamins de 8 ans qui les ont fait (ouais ouais je sais, je sais pas dessiner moi, alors je devrais pas trop la ramener, mais je la ramène quand même, parce que moi mes dessins, je les envoie pas aux éditeurs, BANDE DE CONS) et une magnifique pub pour « Droit au but » (sont quand même mal tombés, sont pas les seuls à faire ça, mais je déteste le foot).

 

5. Ca y est, c’est fini ?

C’est exactement ce que je me suis dit quand j’ai terminé la BD. Ben ouais, c’est fini. Malheureusement. J’aurais aimé vous dire que c’est de la balle, que c’est aussi bon que les vidéos du Joueur du Grenier, que j’ai pris mon pied, mais non. Honnêtement, la BD  pourrait faire rire un gamin, mais pas moi (et pourtant, je me marre dès que quelqu’un dit « caca »). Je la recommande chaudemment à tous les fans de Pirate Sourcil, mais si comme moi, vous n’êtes pas adeptes de son travail, abstenez-vous.

Voilà, sinon, si vous voulez quand même voir par vous même, je pense que je vais rapidement la mettre en vente sur Priceminister (l’ebay du paysan).

Seeya bitches !

Ah oauis, et BOTD c’est Book Of The Day, BANDE DE CONS !





4 commentaires pour “BOTD – Joueur du grenier, ma folle jeunesse.”

  1. Mazette t’écris vite !
    Bon je vais économiser 10 balles alors, j’espère que le visiteur du futur s’en sortira mieux.



  2. Bon, ben ça c’est fait !
    Maintenant, j’ai autant envie de me procurer cette BD que de subir une coloscopie en publique. Merci LVDG :-P



  3. Ha bah ça c’est fait ^^

    J’ai été voir le blog de Pirate Sourcil pour me faire une idée… effectivement c’est pas drôle.
    Son humour ça me fait penser à l’épisode de South Park qui se fout des Griffin parce que c’est écrit par des lamantins.

    Wala wala.



  4. BAAAAM dans sa gueule ! Et ouai les mecs faut pas jouer avec nos ptits chouchoux surtout pour en faire des trucs plein de caca ! Salauds !




Laissez un commentaire

« »

Copyright © 2024 La vie d'une geekette - Blog propulsé par WordPress
Merci à Pascalou, mon frère chéri, et Luc pour l'hébergement !

Geekette et féminine. Comme tous les geeks, j'aime mes PC. Comme toutes les femmes, j'aime les sacs à main, les chaussures, faire le ménage, etc. Ce blog est là pour assouvir un besoin égoiste primaire qui consiste à raconter ma vie et à vous faire partager les trucs dont vous vous foutez certainement mais qui me plaisent (ou pas). J'espère au moins vous faire sourire un peu. Vous pouvez également me retrouver sur "Ouatseup", un webzine communautaire où j'officie également.


S'abonner au flux RSSRetrouvez LVDG sur twitterRetrouvez keninette sur twitter
Retrouvez la page facebook de LVDGContactez moiPosez moi des questions sur formspring



Retrouvez-moi sur Ouatseup

Ze big boum