After Freepod : Mint et Tux à volonté !

 

Hello world !

En ce lendemain/after d’IRL Freepod, je me décide (enfin) à vous poster un petit article (ouais je sais, un article tous les six mois, c’est une putain de régularité de fou, mais bon, j’suis une grosse guedin) !

Alors, non, je ne vais pas vous parler de la putain de nuit que j’ai passé à mater les trois épisodes de Retour vers le futur (en VF hein, on a gagnéééééééé), des nouvelles rencontres, des rencontres pas nouvelles mais toujours aussi rox, des nouvelles rencontres un peu trop brèves, et tout ça dans un cinéma parisien qui a, il faut le dire, pas mal de gueule ! Non, vais pas vous en parler plus que ça parce que là tout de suite, j’ai :

  1. La flemme et je préfère attendre que les photos/vidéos soient dispos.
  2. Pas assez dormi du tout.
  3. Pas envie que vous vous suicidiez parce que vous n’avez pas eu la chance d’y être et d’avoir vu des putain de DeLorean en parfait état de fonctionnement (au moins jusqu’à l’Hôtel de ville).
  4. La réponse 2 donc la réponse 1, forcément, parce qu’en fait, m’en fous royalement que vous vous pendiez.

Non, là en fait, tout de suite maintenant, j’étais plutôt venue pour vous parler (très/trop) rapidement de Linux Mint 12. Et ouais, on ne le dit pas assez, mais un pingouin/manchot (c’est comme les mandarines/clémentines et les abeilles/guêpes, je ne connaîtrai jamais la différence, alors vos gueules bande de mollusques) peut en cacher un autre. Comme, après quelques actions plutôt foireuses, je vous l’avoue, mon netbook avait décidé de ne plus booter sur aucun système d’exploitation, j’ai décidé de formater tout ça à l’arrache et d’installer Mint.

 

Pour ceux qui ne connaîtraient pas Mint, ben vous faites comme tout le monde, vous demandez à Monsieur Wikipédia (oui parce que google, say le mal, ça y est), il devrait pouvoir mieux vous renseigner que moi, et je laisse les copier/coller aux moins flemmards que moi. On va donc directement attaquer (après une introduction de trois heures) sur les points positifs et les points négatifs.

 

Commençons par les bonnes nouvelles :

  • L’interface est plutôt sympa, elle ne déroutera pas trop les utilisateurs de Windows, puisqu’on bénéficie d’un menu hybride entre un menu Linux classique (pour les utilisateurs d’Ubuntu du moins) avec les différentes catégories, MAIS disposé, pour une fois, en bas à gauche, comme ce bon vieux bouton Démarrer (oui, il ne faudrait pas le déplacer, les utilisateurs de Windows pourraient vite être perdus) et avec une fonction recherche plutôt pratique !

     

  • On dispose aussi d’un autre menu, beaucoup plus dans l’esprit « tablette » je trouve, puisqu’il nous permet d’accéder directement à des applications (oui, on ne dit plus programmes, c’est so 2010) sous forme de mosaïque. A noter que ce même menu vous permettra d’accéder à vos applications en cours de fonctionnement, et de les déplacer sur les différents bureaux, ce qui est franchement pratique, surtout quand on a un netbook, et d’effectuer un survol et une sélection rapide des applications présentes sur la totalité de vos bureaux.

     

  • On y retrouve les fonctionnalités liées aux fenêtres qu’on a pu apprécier sur Windows 7 (ben faut bien que Microsoft ait fait un truc de bien hein), c’est à dire de les organiser sur l’écran en les collant aux côtés (la fenêtre prend alors la moitié de l’écran sur le côté choisi) ou de les agrandir pour qu’elles prennent l’écran entier lorsqu’on les fait glisser vers le haut.
  • La prise en main est plutôt rapide, même pour quelqu’un qui n’a pas vraiment l’habitude d’utiliser Linux : je n’ai pas galéré à trouver mes drivers et je n’ai pas eu à monter ma clé USB avant de vouloir espérer l’utiliser (c’était mieux avant quand même hein ? Linux maintenant c’est comme les jeux vidéos, il n’y a plus de défi).
  • Comme on est sur Linux, bien-sûr, on a le droit à un multi-bureau, avec une petite nouveauté en plus : dès que vous utilisez un bureau libre, Mint vous ouvre directement un autre bureau tout propre prêt à accueillir votre prochaine application. Il y a certainement une limite, mais pour le moment, j’ai dû ouvrir six bureaux au max, et le septième était gratuit quand même !
  • Pendant l’installation, comme d’hab, vous pourrez gérer vos partitions, décider de supprimer définitivement le windows (piraté) que vous aviez réinstallé tous les deux mois pour qu’il ne soit pas trop lourd et bordélique, mais vous pourrez aussi et surtout mettre à jour votre ancienne distrib de Linux vers Mint, ce qui vous permettra de conserver vos dossiers, etc…, ce qui peut s’avérer plutôt pratique.

Bon, on va s’arrêter là pour les points positifs hein, je suis certaine qu’il y en a plein d’autres, mais là, franchement, j’irais bien me coucher. Passons donc directement aux points négatifs (et croyez-moi ça va être court) :

  • Il tourne sur un netbook, mais il a un peu du mal quand même, il faut souvent s’armer d’un peu de patience au lancement d’une application.
  • Il y a un truc super con quand on a un netbook : l’écran étant de taille ridicule, une des fenêtres d’installation n’est pas vraiment adaptée verticalement parlant, du coup, on est obligé de passer sur le menu de survol pour pouvoir sélectionner la fenêtre concernée en prenant bien soin de la sélectionner au niveau du bouton « suivant », après il ne reste plus qu’à appuyer sur entrée, vu que sinon, le bouton, tu ne le vois même pas, et si t’espère scroller, tu te la colles derrière l’oreille.

Voilà, j’ai trouvé que ça, et si on réfléchit bien, ce ne sont pas vraiment des points négatifs puisque Mint n’est en aucun cas particulièrement destiné aux netbooks, donc du coup, ben peux m’en prendre qu’à moi (surtout que bon, le netbook, il n’est plus tout jeune non plus hein).

En conclusion (enfin), je dirais que Mint est une distrib plutôt sympa, accessible, assez épurée, pas dégueu visuellement parlant, innovante et surtout étonnement adaptée aux netbooks. Honnêtement, je ne serais vraiment pas étonnée de la voir débarquer en version optimisée pour les netbooks (d’ailleurs je peux pas me résoudre à la désinstaller, ça rame pas non plus sa mère pour une utilisation basique) et surtout pour les tablettes. D’ailleurs, si vous en avez une en rab, n’hésitez surtout pas à me l’envoyer, je serais ravie de tester Mint dessus, parce que pour le coup, je reste vraiment sur ma faim moi ! Allez, seeya bande de mollusques écervelés !

 





Un commentaire pour “After Freepod : Mint et Tux à volonté !”

  1. Citation : « un pingouin/manchot (c’est comme les mandarines/clémentines et les abeilles/guêpes, je ne connaîtrai jamais la différence, alors vos gueules bande de mollusques) »

    Elle m’as tuée cette phrase.

    Encore des articles, moi j’aime bien tes articles.

    Vive keninette.




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